Le mémoire est considéré comme la mise en texte, adressée, d'un dire sur un faire professionnel, mettant en jeu une double composante épistémique et identitaire. La recherche montre que les savoirs théoriques et les savoirs analyser apparaissent majoritaires dans les discours au détriment des savoirs d'expérience et des savoirs d'action. Dès lors, le mémoire se donne à lire à la communauté professionnelle, non pas comme un processus de problématisation qui articulerait la question du sujet à la singularité de son expérience, mais comme la mise en scène d'un problème théorique désubjectivé. |